J’ai vu le jour où tout se déroule
lentement, rapidement.
La Terre sous tous les êtres se mouvait
dans l’amalgame. Elle s’est tue dans le bruit des fumées, alors qu’elle
devait voler autour du soleil.
Des fumées attrapaient des écoliers.
Ainsi qu’ils ne pouvaient pas célébrer la Kermesse.
Le grigri que l’on croyait comme
un truc portant bonheur, n’a pas pu empêcher le feu de brûler détruisant ce
qu’il y avait sur la Terre.
Des Inuits se sont cachés dans la
zénitude en espérant que la Terre glissante ne se déroberait pas, car
ils savaient que l’iceberg serait fondu, devenu un océan froid dans l’instant.
Je verrai l’innovation rend l’avenir
incertain.
Tout s’inventera rapidement.
D’une époque où la lecture est prééminente,
à une époque où le wiki deviendra dominant.
D’un moment où l’on dit « bravo »
pour la sérendipité, à un moment où l’on sera assez souvent de dire
« non » pour l’environnement.
D’une perspective où l’on pense que la
maison en bois est assez kitsch, à une perspective où l’on pense que le
béton garanti la robustesse de vie.
On sacrifie l’environnement sur l’autel
de la modernité…
((NOUS))
ou bien
moi,
je dois sauver la vie
du réchauffement de la planète
de la destruction massive de la Terre
du
changement climatique
de l’exploitation forestière
de l’effet de serre
Le
reboisement et l’esprit de green-life sont des choses primordiales que l’on
doit planter dans l’âme de toute personne, de toute nationalité.
Le peuple doit militer et cibler son
effort pour lutter contre la déforestation,
pour forcer les pouvoirs du monde à
signer…
« non
à l’émission CO2,
non
à la déforestation »
car le meilleur monde est à ((nous))
hier, maintenant, toujours…
Rédigé par Fahmi Hendriawan
* C'est un poeme que Fahmi a fait pour suivre le concours d'ecriture dans l'occasion de la fete de la Francophonie en Indonesie (Institut Francais d'Indonesie).
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